Autrefois, la qualité des traductions était une notion évidente. À l’époque, les ordres de mission mentionnaient : « Pas de traduction Google : la qualité est primordiale pour ce projet. » C’était la norme. Les entreprises qui ne se fiaient pas aux traductions automatiques, littérales et bancales, avaient tout juste.
Les temps ont bien changé. En raison de l’essor de l’IA, de la multiplication exponentielle des contenus multilingues et de la demande croissante émanant des entreprises internationales, cette qualité n’est désormais plus une référence unique. La qualité « ad hoc » se définit au cas par cas. La « plus haute » qualité n’est d’ailleurs pas nécessairement la panacée.
Un mot, plusieurs significations
Aux balbutiements de la localisation, la discussion était simple : chacun voulait la meilleure qualité possible. Les volumes étaient suffisamment limités que pour y parvenir.
En 2025, l’envergure de la production de contenu multilingue a littéralement explosé. Les multinationales publient aujourd’hui, sur des dizaines de marchés simultanément, des blogs, du contenu destiné aux réseaux sociaux, des descriptions de produits, de la documentation technique, des mises à jour sur la conformité et des campagnes de marketing.
L’IA offre dorénavant aux entreprises la possibilité de localiser du contenu qui n’aurait jamais pu l’être sans elle. Avec à la clé, une avancée considérable dans la conquête de nouveaux marchés mondiaux. Une aventure qui entraîne toutefois des défis.
Bon nombre ont du mal à suivre la charge de contenu. Les blocages viennent le plus souvent des révisions humaines. Les entreprises doivent donc définir leurs besoins en matière de qualité de façon plus délibérée, afin de pouvoir consacrer ces ressources de manière plus pertinente.
La vraie question est la suivante : quelle est la qualité requise pour tel but, compte tenu du budget et du délai impartis ?
Qualité sur mesure
Pour certains contenus, tels que des communications internes, l’enjeu est limité. Les équipes peuvent alors faire primer la rapidité et le budget restreint sur la qualité, la traduction automatique (rapide, économique et fonctionnelle) faisant parfaitement l’affaire.
Cependant, pour les contenus destinés aux clients à fort enjeu ou les contenus réglementaires, une post-édition et une révision complètes restent indispensables.
Entre les deux, on trouve un éventail d’options dans lequel les traducteurs et réviseurs humains ont un rôle plus ou moins important à jouer.
Le défi pour les entreprises ne réside plus dans la quête d’une définition universelle de la qualité. Elles doivent définir, pour l’ensemble des équipes, le niveau de qualité adapté à chaque type de contenu, afin de consacrer les ressources aux contenus sur lesquels leur impact est le plus élevé.
Trouvons ensemble la qualité optimale
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